 Eco-Tartre®Simple, efficace et rodé Eco-Tartres préserve l'environnement en secondant les caves et soulageant les stations d'épuration d'une partie de leurs effluents vinicoles. Depuis la mise en place du service en 1992, plus de 16 000 m³ de solutions ont été valorisées chez Faure sous forme de tartrate de calcium et bitartrate de potassium bruts.  Eco-diatos®Depuis 2002, la législation française interdit la mise en décharge des déchets autres qu’ultimes. Faure propose via son service « Eco-Diatos » une alternative crédible au traitement de ce déchet pour trois raisons essentielles :
Eco-Spray®Évolution du service Eco-Tartre, Eco-Spray propose une solution efficace et complète pour le détartrage chimique de vos cuves. Elle vous permet :
La logistique est assurée par FAURE à l’aide de ses moyens humains et matériels dans tous les vignobles de France. | |
| Un peu d'histoire La Maison FAURE a été fondée en 1904 par Alfred FAURE. D'abord vigneron et courtier en vins et alcools, ce comtadin s'est spécialisé par la suite dans le détartrage des foudres. Son fils Jean lui succède dans les années 1930, alors qu'apparaissent un peu partout les premières caves coopératives. Ces constructions massives, qui marquent le passage du secteur vinicole à l'ère de la production industrielle, seront le théâtre de deux innovations cruciales : introduction des cuveries en ciment d'une part, généralisation des techniques d'extraction mécanisée (chalumeau au gaz, burineur pneumatique) d'autre part. Dès lors, le rendement des détartrages va connaître une augmentation considérable.
Le 1er janvier 1989, les Etablissements FAURE changent de statut. "FAURE S.A." est aujourd'hui une P.M.E. de 12 salariés dirigée par Jean-Pierre, arrière petit-fils du fondateur Alfred. A l'approche du centenaire, celui-ci a donné à l'aventure familiale une orientation plus moderne, respectueuse de sa vocation première mais tournée vers les enjeux environnementaux et la recherche-développement.
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Au cours des années 1950 à 1980, Alfred FAURE, fils de Jean, saura tirer profit de cette nouvelle donne, prospectant avec succès les vignobles d'Ardèche, du Beaujolais, du Mâconnais, de Savoie et du Jura. Le moment est venu de doter l'entreprise d'infrastructures conformes à son expansion géographique. En 1968, Alfred choisit d'abandonner les locaux du vieux Sérignan, exigus et peu accessibles, pour venir implanter son activité au nord du village, sur le site actuel du quartier St Marcel.